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“J’ai dû écouté 4-5 fois La danse de la gravité avec à chaque fois une profonde détente et l’atteinte d’un état de déconnexion intéressant. Ce qui est fou, c’est que à chaque écoute je retiens d’autres passages et arrivée à la fin, je sais que durant au moins 5-10 minutes j’étais complètement ailleurs. Aujourd’hui je n’en ai pas encore fait le tour. Cette expérience est particulièrement bien étoffée et me parle peut-être aussi plus particulièrement. Les démarrages avec les odeurs et les goûts me parlent beaucoup” M.

 

“Moi j’ai trouvé ça génial. J’ai vraiment eu l’impression d’avoir des sensations physiques c’est assez incroyable. Je pense que ça m’a même ouvert des portes c’est-à-dire que depuis que j’ai commencé à faire ça, ça m’arrive…  de me visionner entrain de faire un mouvement et j’ai trouvé ça incroyable parceque ça ne me venait pas à l’esprit de faire ça avant. Je trouve ça génial. Je me disais d’ailleurs que c’est sensé ne pas être thérapeutique mais que ça peut peut-être l’être quand même. Je crois que les fiction peuvent être thérapeutique aussi.” F.

 

“Je trouve l’idée originale, celle de raconter des histoires en y mêlant un état hypnotique par des inductions. J’aime le vocabulaire imagé et varié que tu utilises, j’aime la tonalité de la voix.” T.

 

“Merci pour l’EOG “Le Nouveau Papa”. Je me suis retrouvée 37 ans en arrière quand ma fille est née. Je n’étais pas dans la peau du papa, mais plutôt spectateur. Au début pour moi c’était un inconnu et quand il s’est touché le menton c’est devenu mon mari, il faisait ça quand il n’était pas rasé… Je n’ai pas senti l’odeur des fleurs mais je suis montée dans l’ascenseur et j’ai traversé le couloir avec lui. J’ai revécu le bonheur de ce premier jour.” L.

 

 

“Chapeau! Immersion progressive en constant approfondissement, j’ai franchi les paliers successifs sans le mesurer… faisant finalement corps avec le récit, m’incorporant à lui, après l’experience de levitation, le coup de théâtre de la revelation de Simon a été complètement submergeant et confusionant engendrant des picotements dans tout mon poitrail, sachant que depuis la prononciation du mot “genou” une sensation de chaleur s’était déjà rependue à partir des genoux en remontant aux cuisses… Je ne sais plus vraiment à quels moments, mais j’ai aussi été très ému, les larmes ont perlé avant que tu ne le suggères… J’ai trouvé le debut, les premières suggestions d’attention et de sensation, un peu rapides, presque precipitées… Peut-être est-ce voulu mais je me suis demandé si quelqu’un d étranger à ce genre d’experimentation aurait le temps de s’immerger… A ce sujet je t’invite, si ce n est déjà fait, à consulter “Méditer jour apres jour” de Christophe André. Compliments pour cet étrange et surprenant dénouement digne des episodes diffusés dans “la 4 eme dimension”! Grouille toi d’en faire d’autre et merci!” A.

 

“Ecoute, je suis scotché par la qualité de l’enregistrement audio et je me suis laissé prendre. Je suis conquis ! Bravo l’artiste !” M.

 

“Ta voix est magnifique, toute proche, c’est très intense… c’est bien d’avoir gardé quelques bruits de bouche… j’aime beaucoup le début de l’histoire, c’est surprenant, nouveau, une véritable expérience… Tu écris très bien. Les images viennent facilement… peut-être que ton débit est un poil trop rapide, mais très légèrement… on n’a pas envie que ça s’arrête, c’est très chouette ! On rentre bien dans l’histoire… La réalisation est simple et efficace. Le texte très léché et suffisamment détaillé pour favoriser l’immersion… J’ai envie d’en écouter encore ! C.

 

Le fait que ça soit fictionnel, non-thérapeutique, pas centré sur un égo ni sur un problème personnel, c’est vraiment super et ça peut libérer plein de choses dans l’imaginaire des gens. On a besoin de réinventer la réalité et c’est par la fiction qu’on réinvente la réalité. C’est comme dans un rêve. L.

 

“Dans les deux EOG j’ai aimé l’étrangeté de l’histoire, dans l’enfant à vélo j’ai eu l’eau à la bouche quand le petit garçon a croqué la pomme! (j’étais surprise parce que je n’aime pas vraiment les pommes, je préfère le chocolat) je n’arrivait pas à imaginer une biche qui sourit. Quand le petit garçon a souri j’ai ressenti un sourire bien que je sentais que mon visage restait impassible et quand la vieille dame l’a grondé je me suis crispée, j’étais un peu en apnée… Bonne continuation à Onigate.” L.

 

 

 

 

 

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